lundi 26 décembre 2016

Histoire de l'église Saint-Germain de Branville par Arcisse de Caumont

Arcisse de Caumont écrivit de 1846 à 1857, 5 tomes de la "Statistique monumentale du Calvados" recensant tous les "monuments historiques" du département.

Lien vers les 5 tomes sur Gallica.

Le texte suivant est la reprise complète de son article sur l'église Saint-Germain de Branville, paru dans le tome 4 de 1862. Lien vers ce tome.




Nom usuel : Branvilla, Brandavilla, Braanvilla

Branville est une grande et belle église, située tout près de la route de Lisieux à Dives.
Elle appartient, dans sa plus grande partie, au style du XIIIème siècle, et en est un des plus beaux spécimens pour un édifice rural. Elle se compose d’un chœur, d’une nef et d’une tour placée en saillie entre les deux, au nord.

lundi 12 décembre 2016

Vitraux de la nef - article 1

Voici la présentation des vitraux de la nef de l'église de Branville. Les travaux dans le choeur ne permettent pas actuellement de les photographier et donc de les présenter.

Ce premier article portera sur la présentation de ces vitraux. Le deuxième sur leurs implantations au sein de l'église ainsi que sur les circonstances de ces implantations.

 Vitrail de Saint-Henri :

Histoire de Saint-Henri sur Wikipédia : Henri II, dit « le Boiteux » ou « le Saint », né en mai 973 (selon le nécrologe de Merseburg, le 6 mai) et mort en 1024, est le sixième et dernier roi de Germanie ou empereur romain germanique de la dynastie saxonne et ottonienne.

Duc de Bavière de 995 à 1004 et de 1009 à 1017, Roi de Francie Orientale (Germanie) en 1002, roi d'Italie en 1004, élu empereur romain germanique en 1002, couronné à Rome par le pape Benoît VIII en 1014. Il épousa Cunégonde, fille du comte de Luxembourg, qui avait fait vœu de chasteté et qu'il associa à son gouvernement. Menant une vie pieuse, il développa le monachisme, créa, en 1007, sur des terres qui lui appartenaient en propre depuis 995, l'évêché de Bamberg, et eut à combattre Boleslas Ier, duc puis roi de Pologne. Mort en 1024 à Göttingen en Saxe, enseveli à Bamberg, il est canonisé en 1146.

mardi 6 décembre 2016

A chacun sa chapelle...

Vu sur le figaro.fr
Par Catherine Saint-Jean, Mis à jour le 25/11/2016 à 09:48. Publié le 24/11/2016 à 18:57

Le nombre croissant d'édifices religieux désaffectés a donné à certains l'idée de leur offrir une autre destinée. Sièges de société, hôtels, salles de concert ou d'exposition, logements s'y installent… pour un supplément de spiritualité.

Certains vocifèrent des «nom de Dieu!» pour bien moins que ça. Rendez-vous compte, selon l'Observatoire du patrimoine religieux, dix à vingt églises et chapelles seraient mises en vente chaque année. Pire, 5 à 10 % des 100 000 monuments religieux recensés en France - à 95 % catholiques - pourraient être vendus, détruits ou abandonnés d'ici à 2030.
Abandonnés ou détruits? Peut-être pas… Il n'y a qu'à surfer sur seloger.com, Le Bon Coin ou sur les sites d'agences spécialisées pour se rendre à l'évidence: l'édifice religieux est dans l'air du temps. Grâce à l'intérêt qu'elles suscitent auprès des entreprises, des villes et même des particuliers, ces bâtisses historiques connaissent une seconde vie. Un don du ciel? Tout porte à le croire.

Suite de l'article ICI.